Lien du vaccin de la grippe porcine avec une maladie des nerfs meurtrière

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Le gouvernement a transmis une lettre confidentielle aux experts neurologues pour les prévenir que le nouveau vaccin de la grippe porcine provoque une maladie des nerfs qui est meurtrière.

Cette correspondance émanant de l´Agence de Protection de la Santé, un organe officiel qui supervise la santé publique a été divulguée dimanche au journal britannique Daily Mail.
A la suite de cette information l´on a demandé à savoir pourquoi cette information n´a pas été publiée avant le début de la campagne de vaccination de millions de personnes, notamment les enfants.
Cette correspondance invite les neurologues à rester vigilant face à la recrudescence des cas d´affection cérébrale connue sous le nom de Syndrome de Guillain-Barré (le “Syndrome Guillain-Barré”) qui pourrait être provoquée par le vaccin.
Le Syndrome Guillain-Barré s´attaque aux nerfs périphériques causant une paralysie et des difficultés à respirer; Il peut être mortel.
Cette lettre, envoyée à environ 600 neurologues le 29 juillet, constitue un premier signe que même au niveau des plus hautes sphères de l´Etat, la possibilité que le vaccin pourrait causer lui-même de graves complications, constitue un sujet de préoccupation.
Elle rappelle l´usage en 1976 d´un vaccin analogue de la grippe porcine aux Etats-Unis lorsque :
-Le vaccin a fait plus de victimes que la grippe porcine.
500 cas de Syndrome Guillain-Barré ont été découverts.

-Le vaccin aurait pu augmenter de huit fois les risques d´infection au Syndrome Guillain-Barré.
-Le vaccin a été retiré au bout de dix semaines lorqu’on a découvert que le vaccin provoquait le Syndrome Guillain-Barré.
-Le Gouvernement des Etats-Unis a été contraint de verser des millions de dollars à ceux qui en ont été victimes.
Deux problèmes suscitent l´inquiétude des uns et des autres: le fait que le vaccin n´a pas été suffisamment testé et que ses effets, en particulier sur les enfants ne soient pas connus.
Les groupes pharmaceutiques sont en train de le mettre au point et il sera administré à environ 13 millions de personnes pendant la première vague d´immunisation prévue en octobre.
Il sera administré aux personnes âgées de 6 à 65 ans dont la santé est précaire, aux femmes enceintes et aux professionnels de la santé.
L´unité de surveillance neurologique de Grande Bretagne (BNSU),
membre de l´Association britannique des neurologues, a été invitée à surveiller de près tous les cas de Syndrome Guillain-Barré au fur et à mesure du déroulement de la campagne.

Selon les déclarations faites hier soir par un expert neurologue : « je ne me ferai pas vacciner contre la grippe porcine à cause du risque du Syndrome Guillain-Barré. »
Des inquiétudes subsistent par rapport à ce qui est convenu d´appeler la “débâcle de 1976″ aux Etats-Unis, où le vaccin de la grippe porcine avait tué 25 personnes, plus que le virus lui-même.
Le président Gerald Ford avait donné son accord pour l´organisation d´une campagne de vaccination de masse, parce que, de l´avis des scientifiques, la souche du virus de la grippe porcine de cette époque était semblable à celle qui était responsable de la pandémie de 1918, qui tua un demi million d´Américains et 20 millions de personnes à travers le monde.
Au bout de quelques jours, les symptômes du Syndrome Guillain-Barré étaient signalés parmi ceux qui avaient été vaccinés et par la suite, 25 personnes moururent d´insuffisance respiratoire après avoir souffert d´une grave paralysie. Une personne sur 80000 a vu son état de santé se détériorer.
Par contre, une personne seulement mourut de la grippe porcine.
Plus de 40 millions d´Américains avaient reçu le vaccin au moment de l´interruption de la campagne de vaccination au bout de dix semaines. Le gouvernement des Etats-Unis déboursa des millions de dollars pour indemniser ceux qui étaient touchés.
Le virus de la grippe porcine contenu dans le nouveau vaccin est légèrement différent de la souche de 1976, mais la possibilité d´une augmentation des cas de Syndrome Guillain-Barré demeure un sujet de préoccupation.

Mike Penning, porte-parole du “gouvernement fantôme”, a déclaré hier soir: “ La dernière chose que nous souhaitons, c´est de voir des lettres distribuées aux experts de la National Health Service(équivalent francais de la Direction Générale de la Santé). Nous avons besoin d´un vaccin, mais il nous faut également en connaitre les risques potentiels.
“ Notre mission est de nous assurer que les populations savent ce qui se passé. Pourquoi le gouvernement est-il discret à ce sujet? Il est également très inquiétant que les médecins de familles, chargés d´administrer le vaccin ne soient pas prévenus.”
Deux correspondances ont été adressées aux neurologues les avertissant de ces inquiétudes.
La première, en date du 29 juillet, a été rédigée par le Professeur Elizabeth Miller, chef du service d´immunisation de l´Agence de Protection de la Santé.
Elle déclare: “ On a découvert que les vaccins utilisés pour combattre une pandémie annoncée de la grippe porcine en 1976 provoquaient le Syndrome Guillain-Barré ; leur usage a été interrompu.”
“On a identifié le Syndrome Guillain-Barré comme une maladie nécessitant une surveillance renforcée en cas d´injection du vaccin de la grippe porcine.”
” Le fait de déclarer chaque cas de Syndrome Guillain-Barré, qu´il soit lié au vaccin ou non, est essentiel pour mener des analyses épidémiologiques approfondies permettant de déterminer s´il existe un risque accru d´attraper le Syndrome Guillain-Barré dans une période déterminée après la vaccination ou après avoir contracté la grippe elle-même”

La deuxième lettre, datant du 27 juillet, émane de l´Association des Neurologues Britanniques et est co-rédigée par le Dr Rustam Al-Shahi Salman, présidente de son unité de surveillance et par le professeur Patrick Chinnery, président de sa commission de recherche clinique.
Elle déclare: “ Il est dans les usages de la BNSU de surveiller l´évolution de rares maladies pendant une longue période. Toutefois, la pandémie de la grippe porcine (H1N1) nous a pris de vitesse et il faut que chaque membre s´implique dans un nouveau sondage portant sur le Syndrome de Guillain-Barré qui sera lancé dès le 1er août et s´étendra sur environ neuf mois.”
” A l´issue de la campagne de vaccination organisée en 1976 aux Etats-Unis contre la grippe porcine, une étude rétrospective a montré que l´incidence du Syndrome Guillain-Barré avait augmenté de huit fois.”
“Il est nécessaire de recenser activement tous les cas prospectifs de Syndrome Guillain-Barré au Royaume-Uni. Veuillez informer la BNSU de chaque cas.”
‘’Nous nous sommes rendus compte de la couverture médiatique réservée aux préoccupation du Gouvernement en ce qui concerne la mise en circulation d´un vaccin dont on ignore le niveau de sécurité qu´il offre.’
Le gouvernement peut décider d´interrompre la campagne de vaccination s´il existe des signes de recrudescence du Syndrome Guillain-Barré après le démarrage du programme de vaccination.
Le Syndrome Guillain-Barré s´attaque aux nerfs périphériques, en leur ôtant la capacité de transmettre effectivement les signaux aux muscles.
Il peut causer une paralysie partielle; il peut aussi touché les membres supérieurs et inférieurs de l´homme. Dans des cas graves, il faut soumettre les patients à une ventilation assistée, mais cette pratique peut s´avérer mortel.

La mort est causé par la paralysie du système respiratoire du patient, qui meurt par asphyxie.
On ignore les causes exactes du Syndrome Guillain-Barré et les études réalisées sur ce sujet ont été peu concluantes.
Toutefois,
on pense qu´un individu sur un million qui recevra le vaccin contre la
grippe saisonnière, risque d´attraper le Syndrome Guillain-Barré. De
même, l´on a remarqué que cette maladie touche des personnes qui
viennent de guérir d’une grippe ordinaire.
L´Agence de Protection de
la Santé a affirmé que le gouvernement prévoyait de surveiller tous les
cas de Syndrome Guillain-Barré en cas d´organisation d´une campagne de
vaccination de masse indépendamment de la souche de virus concernée.
Mais
les experts en matière de vaccin ont prévenu que les lettres
mentionnées ci-dessus sont la preuve que le programme de vaccination
vise à tester le vaccin sur « des cobayes ».
Le Dr Tom Jefferson,
coordinateur de la section vaccin de l´influente organisation Cochrane
Collaboration, un groupe indépendant qui évalue les résultats des
études, a affirmé :
‘Le comportement des nouveaux vaccins n´est
jamais celui auquel on s´attend. Il se pourrait que le vaccin de la
grippe provoque le Syndrome Guillain-Barré, et je souhaiterais
certainement que personne n´en soit victime.”
“Mais il pourrait
s´agir de quelque chose d´autre puisque l´un des vaccins contient un
additif, la substance appelée le squalène. Or aucune des études que
nous avons évaluées n´a porté sur ce sujet.”

Il a déclaré que le
squalène, une enzyme dont la synthèse est naturelle, est de nature à
causer des effets secondaires jusqu´ici inconnus.
Jackie Fletcher,
fondateur de l´Association Jabs, a indiqué : ‘ Le Gouvernement ne
serait pas en train prévoir ce scénario s´il pensait qu´il n´y a pas de
liens. Ce qui nous attend, c´est un essai en grandeur nature sur des
cobayes”
Le Pr Chinnery a déclaré : “ A l´occasion de la dernière
pandémie de grippe porcine, on a constaté que les cas de Syndrome
Guillain-Barré était de plus en plus fréquents. Personne ne sait
exactement si cette recrudescence était due au virus ou au vaccin.”
“L´objectif
du recensement est de nous permettre de savoir rapidement si les cas de
Syndrome Guillain-Barré augmentent lorsque le vaccin est mis en
circulation au Royaume-Uni. Il permet également aux médecins de prendre
davantage conscience de la situation.”
“Il s´agit ici d´une approche
ceinture et bretelles, sans prendre trop de risques, par rapport à la
sécurité et les gens ne doivent pas s´en inquiéter outre mesure étant
donné que ce sont des cas rares.”
“Si les neurologues détectent un cas de Syndrome Guillain-Barré, il sera stocké dans une base de donnée. ”
L´Agence
de Protection de la Santé procédera à la collecte et à la surveillance
des informations concernant les patients, notamment les échantillons de
sang.
Les autorités médicales espèrent qu´ainsi les scientifiques
pourront dire pourquoi certaines personnes développent cette maladie
Syndrome Guillain-Barré et si elle est directement causée par le vaccin.
Mais certaines personnes se demandent s´il faut administrer le vaccin étant donné le risque qu´il comporte.

Le
Dr Richard Halvorsen, auteur de Truth About Vaccines, a affirmé: “ Le
risque de mourir de la grippe porcine est probablement plus grand que
le risque de présenter des effets secondaires dus au vaccin, chez les
personnes souffrant de graves problèmes de santé.”
“Mais il serait
également tragique que nous vivions chez nous(Royaume Uni) ce qui s´est
produit aux Etats-Unis et que le vaccin finisse par faire plus de
victime de la maladie elle-même. »
“Je salue la décision du
gouvernement de reconnaître l´existence d´un risque, mais dans la
plupart des cas, il s´agit d´un virus inoffensif qui nécessite un
traitement banal pendant quelques jours. Je me demande si nous avons
vraiment besoin d´un vaccin.”
Le professeur Miller de l´Agence de
Protection de la Santé a déclaré : “Ce système de surveillance donne
l’occasion de réactiver les plan de lutte de lutte contre la pandémie
qui existent depuis un certain nombre d´années. Nous serons capables de
savoir si un patient a des antécédents de grippe et de savoir si la
grippe elle-même est associée au Syndrome Guillain-Barré.”
“Nous ne nous attendons à découvrir un lien avec le vaccin, et le Syndrome Guillain-Barré”
Le
comité de surveillance des médicaments, l’agence de régulation des
produits pharmaceutiques et de soins, surveille déjà les cas relatifs
aux effets secondaires du Tamiflu et du Relenza. Elle peut étendre sa
surveillance au vaccin.
Un porte-parole du ministère de la santé a
indiqué : “L´agence Européenne des Médicaments a mis en place des
procédures strictes pour valider les vaccins visant à lutter contre la
pandémie. ”

“Pour se préparer à la lutte contre la pandémie, des
essais adéquats ont été réalisés sur des vaccins très semblables au
vaccin de la grippe porcine en vue de déterminer la sécurité et les
réactions immunitaires qu´il provoque. Il a été démontré que ces
vaccins possédaient un profil de sécurité satisfaisant.”
” Il est
extrêmement irresponsable de laisser supposer que le Royaume-Uni
mettrait un vaccin en circulation sans avoir soigneusement examiné les
questions de sécurité afférentes Le Royaume –Uni dispose de l´un des
meilleurs programmes d´immunisation au monde”

“JE NE POUVAIS PLUS MANGER OU PARLER… C´ETAIT TERRIFIANT”
Mais
au bout de quelques heures, une patiente était soumise aux soins
intensifs par ventilation artificielle lorsqu´on a découvert qu´elle
souffrait du Syndrome de Guillain-Barré.
Elle a ensuite passé trois
mois à l´hôpital et elle dû réapprendre à parler et à marcher. Mais
parfois, alors qu´elle était nourrie par sonde gastrique et qu´elle
avait besoin du tube de la trachéotomie pour respirer, elle demandait
si elle pourrait survivre.
A 57 ans, Cumbria Wilkinson, mère de deux
enfants et originaire de Maryport qui a jouit d´une bonne santé
jusqu´au jour ou elle contracté une infection des voies respiratoires
en mars 2006. Elle est progressivement devenue si faible qu´elle ne
pouvait descendre les escaliers.
Les médecins n´avaient pas
diagnostiqué le Syndrome Guillain Barré jusqu´au moment où son état
s´est aggravé et que de nouveaux tests ont montré qu´elle perdait ses
réflexes.
Il est impossible aux médecins de savoir ce qui a pu
provoquer ces troubles chez elle, même si l´on pense qu´ils sont liés à
certaines infections.

Mme Cumbria Wilkinson explique: ” C´était
très effrayant. Je ne pouvais ni manger, ni parler. Mes bras et mes
jambes n´avaient plus de force et j´éprouvais des difficultés pour
respirer.”
“J´ai été traitée à l´immunoglobuline, protéines
présentes dans le sang, qui permettent de d´interrompre la destruction
de mes nerfs. Apres dix jours, je ne pouvais toujours pas parler et il
me fallait utiliser des gestes pour communiquer avec les infirmières ou
avec les membres de ma famille.”
“ C´était absolument terrifiant et
je ne savais pas si je devais m´en sortir. Parfois il nous arrive de
vivre des moments difficiles dans ces circonstances et de nous demander
combien de temps tout cela va durer.”
Mais je suis une personne déterminée et j´avais beaucoup de soutien.
Au
bout de trois semaines, elle a été transférée au pavillon de neurologie
où ell a été soumise à un scanner IRM et aux tests de nerfs pour
évaluer l´étendue des dommages.
Toujours incapable de parler et se
déplaçant à l´aide d´une chaise roulante, Mme Wilkinson a entamé une
physiothérapie pour raffermir la force de ses muscles et de ses
mouvements, “mais c´était pénible et épuisant.”
Trois ans plus tard,
elle est presque complètement guérie. Elle peut aujourd´hui marcher sur
plusieurs kilomètres, elle est allée à l´étranger et elle rend un
service bénévole dans le cadre de l´assistance fournie par le groupe de
soutien du Syndrome Guillain Barré.

D’après ses déclarations:
“Le fait que le gouvernement autorise l´injection du vaccin sans savoir
les éventuelles risques de Syndrome Guillain-Barré m´inspire un
sentiment de méfiance. Je souhaite que cela n´arrive à personne, car
cette maladie a certainement changé le cours de ma vie.”
“ Je suis
effrayée à l´idée de me faire vacciner si cette situation peut encore
se produire, c´est une maladie épouvantable et je pense que davantage
de recherches doivent être entreprises pour déterminer exactement les
effets du vaccin.” a déclaré Mme Wilkinson
Source: Journal Britannique Daily Mail
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